Société
À l’approche de la Journée internationale des femmes, l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne a de nouveau lancé son initiative pour sensibiliser les femmes (et le public en général) au droit des femmes de profiter de l’équité salariale. À l’Île-du-Prince-Édouard, on parlera plutôt d’équité tout court. Le 8 mars, c’est la Journée internationale des femmes. Johanna Venturini, directrice générale d’Actions Femmes, préfère l’appellation «Journée internationale des droits des femmes».
Sans buts à atteindre, on est comme au milieu de l’océan ou au milieu du désert. C’est peut-être «un peu» exagéré, mais ça résume assez bien comment on peut se sentir si on n’a pas d’objectifs ni de buts précis en vue. On peut se laisser aller à la dérive, et se laisser aller tout court. Au contraire, se donner un projet, réveille le mental et le physique.
«Je n’aime plus les superhéros, j’aime juste Greta Thunberg», c’est ce qu’Archie Stanley, 6 ans, a affirmé à ses parents lors de son sixième anniversaire. Son rêve? Devenir professeur d’art et paléontologue (archéologue des fossiles) pour créer un monde plus juste et un environnement plus sain. Il a d’ailleurs déjà commencé : il sauve des diables de Tasmanie, des animaux uniques d’Australie.
En janvier 2021, il y a environ un an, Caroline LeBlanc et son équipe professionnelle de Serene View Ranch ont lancé leur tout nouveau programme de thérapie multidisciplinaire destiné à la clientèle des anciens combattants aux prises avec des symptômes de stress post-traumatique. Il a fallu deux ans à l’équipe pour développer ce programme et réussir à le concrétiser. C’est cette approche multidisciplinaire qui servira de base à deux nouveaux programmes de thérapie, un pour les femmes vétérans, et un pour les vétérans issus des Premières Nations.
«Pourquoi irais-je visiter ma tante qui a l’Alzheimer? Elle ne sait même plus que j’existe. Elle ne me reconnaît pas…» Face à une personne atteinte de démence, c’est facile de se faire cette réflexion, et d’arrêter les visites. Vanessa Lavoie, qui a eu l’occasion, dans sa vie professionnelle et personnelle, de côtoyer des personnes dans des situations de vulnérabilité, offre un autre point de vue.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Gilbert Arsenault, Acadien de 18 ans né en région Évangéline, étudiant à l’Université McGill de Montréal, partage la vision de son identité.
Pour la 12e année de suite, un consortium de chercheurs de plusieurs universités canadiennes a publié son rapport sur les hausses des prix des aliments, offrant un résumé de 2021 et une idée de ce qui nous pend au bout du nez pour 2022. Sans surprise, on apprend dans ce document que les aliments vont coûter en moyenne de 5 à 7 % plus cher en 2022 qu’en 2021.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Fatima-Zahra Zouhairi, originaire du Maroc, arrivée dans la province il y a huit ans, aujourd’hui enseignante à l’École François-Buote, partage la vision de son identité.
L’organisme provincial RessourceAbility (autrefois Council of People with Disabilities) a présenté ses prix annuels de reconnaissance le vendredi 3 décembre. Parmi les récipiendaires se trouvait Maurice Hashie, un gars d’une grande générosité, toujours prêt à aider.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Edmond Gallant, Acadien de 75 ans né en région Évangéline, ancien directeur de l’École Évangéline, partage la vision de son identité.
À l’occasion des 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe (ou le genre), du 25 novembre au 10 décembre, Alyssa Coghlin, thérapeute au sein du Centre de viol et d’agression sexuelle de l’Î.-P.-É., nous parle de la reconstruction des femmes victimes de violences sexuelles.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, JP Desrosiers partage la vision de son identité.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Julie Gagnon, Québécoise arrivée il y a 25 ans à l’île, aujourd’hui directrice adjointe de l’École Saint-Augustin, partage la vision de son identité.
Le 6 décembre est la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. Il y a maintenant plus de 30 ans que le meurtre de 14 jeunes femmes a été commis à Polytechnique Montréal, le 6 décembre 1989. Cet acte violent de misogynie a secoué le pays et a amené le Parlement à faire du 6 décembre la journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes.
Pour la première fois depuis 32 ans, Nathalie Vendrys a décidé de prendre la parole pour raconter comment elle a vécu le 6 décembre 1989, alors qu’elle se destinait à entrer à l’Université de Sherbrooke en 1990, pour entreprendre ses études et devenir ingénieure. La Voix acadienne vous invite à lire ce témoignage courageux qui rapproche de notre vécu insulaire cet événement monstrueux contre des femmes.
Impact – Aîné.e.s Évangéline a été lancé officiellement le lundi 29 novembre. Le projet à volets multiples est cependant en cours depuis le 1er juillet 2021, avec un financement totalisant 180 000 $ sur trois ans. Le service de repas roulant dans la région Évangéline est l’un de ces volets.
Depuis quelques semaines, des femmes de l’Île-du-Prince-Édouard dénoncent les agressions sexuelles qu’elles ont subies. Elles rompent le silence avec l’espoir de briser la culture du viol et les stéréotypes présents dans la société. Mais selon plusieurs responsables d’organisations féministes de la province, la réponse pénale aux violences sexuelles n’est pas encore à la hauteur.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à des nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Maïté Mézierre, Belge arrivée en 2018 dans la province, aujourd’hui employée à l’Agence du revenu du Canada, qui administre la taxe sur les produits et services (TPS) du centre d’impôts de Summerside.
Les hommes ont du mal à parler des cancers de leurs organes génitaux, voire à alerter sur d’éventuels symptômes. Médecins et associations tentent de les sensibiliser. Par exemple avec la campagne Movember, qui incite à se laisser pousser la moustache en novembre.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard?
La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Rachelle Ann Gauthier, Acadienne née dans une famille anglophone de Summerside, professeure en éducation à l’Université de l’Î.-P.-É., partage la vision de son identité.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Karine Gallant, Acadienne de 35 ans née en région Évangéline, coordonnatrice du projet «Bienvenue Évangéline – Communauté francophone accueillante» pour la Coopérative d’intégration francophone, partage la vision de son identité.
À l’occasion de la Semaine nationale de l’immigration francophone 2021, le professeur de sociologie à l’Université de Moncton, Leyla Sall, évoque les difficultés d’intégration économique et sociale des nouveaux arrivants francophones en Acadie.
À l’occasion de la semaine nationale de l’immigration francophone, la professeure en psychologie à l’Université du Québec à Montréal, Ghayda Hassan, nous parle de la fragilité psychologique des nouveaux arrivants et des réfugiés.
Avec la pandémie, les fameux masques bleus chirurgicaux à usage unique font désormais partie de notre quotidien. Trop souvent jetés par terre, dans les rues ou dans la nature, ils bouchent les canalisations d’eaux usées ou finissent leur course dans les océans. Source importante de déchets, la question de leur fin de vie et de leur impact sur l’environnement se pose avec acuité.