Société
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard?
La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Rachelle Ann Gauthier, Acadienne née dans une famille anglophone de Summerside, professeure en éducation à l’Université de l’Î.-P.-É., partage la vision de son identité.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Karine Gallant, Acadienne de 35 ans née en région Évangéline, coordonnatrice du projet «Bienvenue Évangéline – Communauté francophone accueillante» pour la Coopérative d’intégration francophone, partage la vision de son identité.
À l’occasion de la Semaine nationale de l’immigration francophone 2021, le professeur de sociologie à l’Université de Moncton, Leyla Sall, évoque les difficultés d’intégration économique et sociale des nouveaux arrivants francophones en Acadie.
À l’occasion de la semaine nationale de l’immigration francophone, la professeure en psychologie à l’Université du Québec à Montréal, Ghayda Hassan, nous parle de la fragilité psychologique des nouveaux arrivants et des réfugiés.
Avec la pandémie, les fameux masques bleus chirurgicaux à usage unique font désormais partie de notre quotidien. Trop souvent jetés par terre, dans les rues ou dans la nature, ils bouchent les canalisations d’eaux usées ou finissent leur course dans les océans. Source importante de déchets, la question de leur fin de vie et de leur impact sur l’environnement se pose avec acuité.
Qu’est-ce qu’être Acadien à l’Île-du-Prince-Édouard? La Voix acadienne a posé la question à des Acadiens de tout âge, originaires de l’Île ou venus d’autres provinces, qui parlent le français ou l’ont perdu, mais aussi à de nouveaux arrivants francophones. Cette semaine, Katelyn Gill, Acadienne de 26 ans née à Charlottetown, enseignante à l’École François-Buote, partage la vision de son identité.
Le président de la Société Nationale de l’Acadie, Martin Théberge et la cheffe de poste du Bureau du Québec dans les provinces atlantiques, Maud-Andrée Lefebvre, ont fait la présentation du Prix Acadie-Québec 2021 au journal hebdomadaire francophone, La Voix acadienne, lors de l’assemblée générale annuelle de la Société acadienne et francophone de l’Î.-P.-É. qui avait lieu le 23 octobre dernier.
La vie est une chose étrange. Elle dure un temps, puis elle finit. On aimerait pouvoir faire des répétitions pour que chacune de nos représentations soit la plus parfaite possible, mais au contraire, on n’a qu’un essai. Vivre pleinement, avec bienveillance pour soi et pour autrui, est la recette qu’Hélène Lebon prépare chaque jour et qu’elle sert aux gens autour d’elle, dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle.
Grands Frères Grandes Sœurs de l’Île-du-Prince-Édouard œuvre depuis des années pour ouvrir le champ des possibles milliers d’enfants et d’adolescents de la province à travers plusieurs programmes de mentorat. Les mentors qui les accompagnent donnent de leur temps, mais s’enrichissent également de cet engagement.
Rachelle Belair vit dans un cottage spacieux et bien situé depuis quatre étés. Jeune retraitée du gouvernement fédéral, elle s’émerveille de ce que la vie s’entête à lui offrir : du bonheur, des amis et, surtout, la sobriété, depuis 33 ans.
Le développement de l’identité culturelle d’un enfant se fait à partir de la naissance. Au début, l’enfant se contente de «recevoir» les blocs de construction et de les placer comme on le lui indique. Puis, arrive un jour où, l’enfant ayant grandi, il est capable de choisir lui-même les blocs qu’il veut ajouter à son identité culturelle. Il est aussi de plus en plus capable de les assembler selon son modèle à lui. Et tout cela est normal.
Aux alentours de 20 h 15, le vendredi 1er octobre, un petit groupe de femmes de la région de Summerside a participé à l’activité Take Back the Night. La leader du groupe (seconde à partir de la gauche) était Jackie Ellis, présidente du comité des femmes de l’Alliance canadienne de la fonction publique pour l’ouest de l’Île.
Celles et ceux qui s’occupent d’aînés en situation de dépendance sont au bord de l’épuisement depuis le début de la pandémie. Pour les proches aidants francophones en situation minoritaire, bénéficier de soutien dans leur langue maternelle peut se révéler un parcours du combattant.
Richard Arsenault voit bien que ses choix de vie piquent légèrement la curiosité des gens. Certains comprennent, d’autres moins. Sa décision de vivre dans une yourte autosuffisante en énergie, quasiment sans empreinte sur l’environnement, n’a pas été prise du jour au lendemain, mais presque. Rencontre avec un propriétaire pas comme les autres.
Lors de l’assemblée annuelle de La Voix acadienne le 26 juin 1985, l’on parlait d’envisager des alternatives de financement pour l’hebdomadaire. C’est pour cette raison que les membres du conseil d’administration de l’époque ont décidé de mettre sur pied la Fondation des Œuvres acadiennes de l’Île-du-Prince-Édouard.
Alors que l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard a déjà imposé la vaccination sur son campus, Ottawa a annoncé son intention de rendre obligatoire la vaccination des fonctionnaires fédéraux. Ces décisions sont-elles légales au regard de la Charte canadienne des droits et des libertés? Serge Rousselle, professeur de droit à l’Université de Moncton, fait le point.
En 2021, votre Journée Terry Fox sera un événement virtuel par-tout au Canada. Autrefois appelé «Course Terry Fox», l’événement a depuis changé de nom pour se faire plus inclusif à toutes les personnes, peu importe qu’elles courent, marchent, roulent ou gambadent à leur rythme.
La lieutenante-gouverneure de l’Île-du-Prince-Édouard, Antoinette Perry, a présenté récemment dans la région Évangéline la médaille du Guerrier de la COVID à des groupes et individus qui ont apporté une contribution importante à la communauté pendant la pandémie de COVID-19.
Le 22 mai dernier, 250 marcheurs ont manifesté pacifiquement à Charlottetown, en réponse à l’appel lancé par la Société musulmane de l’Île-du-Prince-Édouard. «Dans les deux heures suivant la publication de notre invitation, nous avions le maximum d’inscriptions permis par la COVID-19 et les autorités de santé qui avaient approuvé notre plan», dit Zaïn Esseghaïer, porte-parole de la Société musulmane de l’Île.
L’Assemblée des conseils Epekwitk a profité de la Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones pour inaugurer une toute nouvelle récompense afin de reconnaître les efforts de réconciliation. Pour cette Assemblée, c’était aussi une façon de cristalliser sa nouvelle présence permanente sur le front de mer de Charlottetown, où s’élève dorénavant l’édifice de l’Assemblée Epekwitk.
À l’entrée de Cap-Egmont ou de Kensington, vous pourrez désormais voir de nouveaux panneaux en langue mi’kmaq. Les deux villages font partie des dix localités de l’Île-du-Prince-Édouard dont le nom est traduit cette année. Il s’agit du projet «PEI Mi’kmaq on the Map» mené par l’organisme L’nuey dans le cadre de la Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones.
À cause de la pandémie de COVID-19 et des restrictions sanitaires, les Alcooliques anonymes de l’Île-du-Prince-Édouard sont passés en distanciel pour une partie de leurs groupes de parole. Des réunions Zoom qui ont trouvé leur public, mais qui excluent les plus fragiles et marginalisés.
Réclamé depuis des années (lire La Voix acadienne du 6 mai 2020), un refuge pour femmes devrait bientôt ouvrir à Summerside. Le gouvernement provincial de l’Île-du-Prince-Édouard vient d’annoncer une subvention de 100 000 dollars à cet effet. Le 29 avril dernier, le gouvernement provincial de l’Île-du-Prince-Édouard a annoncé un soutien financier de 100 000 dollars au profit du Club des garçons et des filles de Summerside.
Début avril, le projet de loi qui vise à éliminer la pauvreté à l’Île-du-Prince-Édouard a été adopté à l’unanimité par l’Assemblée législative. L’un des premiers objectifs de ce texte est d’éradiquer l’insécurité alimentaire d’ici à 2030. Pour atteindre cette cible ambitieuse, les universitaires et les politiques sont unanimes : il faut augmenter le revenu minimum et les aides sociales. «C’est la première fois au Canada qu’un gouvernement s’engage à éradiquer l’insécurité alimentaire, salue Valérie Tarasuk, professeure en sciences de la nutrition à l’Université de Toronto. Mais j’attends de voir quelles stratégies la province va mettre en place, ce n’est pas encore très clair».