Nos chroniques

Cette chronique est basée sur des entretiens que j’ai eus avec des Acadiennes et des Acadiens de l’Île entre 1970 et 2000. Les entrevues faites avant 1986 ont été menées pendant que je faisais des recherches en tant que folkloriste sur les traditions acadiennes. Les autres ont été réalisées lors de rencontres que j’ai eu le bonheur de faire pour l’émission matinale de Radio-Canada que j’ai animée pendant 15 ans. 

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Née à Abram-Village en 1921, Mme Yvonne Gallant demeure à Montréal depuis 1943. Ses parents étaient Abel Poirier et Emma Poirier. En 1946 elle épouse Théodore (à Hector à Nicéphore) Gallant de Baie-Egmont. Après le décès de son mari, en 1982, et jusqu'en 2011, elle passe tous ses étés à Abram-Village chez sa soeur Anne-Marie Arsenault. Âgée de 103 ans, elle demeure présentement dans un foyer pour personnes âgées à Montréal.  Souvenirs recueillis par sa fille Johanne Gallant.

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Afin d’encourager la lecture, en plus d’offrir l’opportunité à une élève de l’École-sur-Mer de Summerside, Lily Roy, de publier des critiques de livres, la direction de La Voix acadienne est fière de vous présenter cette chronique où Lily soumettra ses suggestions de livres pour les jeunes.

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L’économie de l’Île-du-Prince-Édouard présente un mélange de ressources traditionnelles (l’agriculture, la pêche et le tourisme) qui ont été considérablement modernisées, ainsi que de nouveaux secteurs de l’industrie, notamment les sciences biologiques et la fabrication avancée. Le sens des affaireset l’esprit d’entreprise sont au cœur de la prospérité économique de l’Île. Les entreprises de l’Île offrent des produits et des services de haute qualité aux consommateurs.

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Lorsqu’on décide de bâtir un chemin de fer à l’Île-du-Prince-Édouard, c’est dans l’intention d’améliorer l’économie et d’attirer le tourisme. On ne peut passer sous silence l’impact qu’a eu la publication du roman «Anne… La maison aux pignons verts», de Lucy Maud Montgomery, en 1908. L’histoire se déroule à l’Î.-P.-É. et à l’époque de sa publication, la plupart des lecteurs ne savaient même pas que l’Île-du-Prince-Édouard existait réellement. 

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Par Claire Lanteigne 

Le parcours de l’Î.-P.-É. vers la Confédération commence le 1er septembre 1864, lorsque la Nouvelle-Écosse, le Nouveau-Brunswick et l’Île-du-Prince-Édouard conviennent de se rencontrer à Charlottetown pour discuter de la possibilité d’une union des provinces maritimes.  Quand la province du Canada (qui représente aujourd’hui le Québec et l’Ontario) demande de participer à la réunion, le sujet de l’union des Maritimes devint secondaire face à l’enjeu grandiose de former une nouvelle nation. On aborde la possibilité d’une union de toutes les colonies de l’Amérique du Nord britannique.

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Par Claire Lanteigne

Lors de la décision de l’ÎPÉ de rejoindre la Confédération en 1873, il avait été convenu qu’un lien permanent relierait l’ÎPÉ et le Nouveau-Brunswick et par conséquent le reste du Canada. Sachant l’importance de maintenir des liens avec le continent, les chefs politiques de l’Île exigent du gouvernement fédéral d’instaurer et d’entretenir un service de transport des passagers et du courrier en toute saison entre l’île et le continent, conditions qui sont inscrites dans le décret d’adhésion.

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NDLR : Denise Arsenault a eu 100 ans le 7 mai 2021 et elle a beaucoup de souvenirs de son enfance. Depuis un certain temps, elle partage ses souvenirs sur sa page personnelle Facebook. À la demande de La Voix acadienne, elle a accepté de partager des petites anecdotes avec les lecteurs et lectrices de La Voix acadienne. Georges Arsenault a bien voulu accepter de faire des adaptations. Bonne lecture!

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NDLR : La Voix acadienne vous partage une initiative du Réseau Santé en français ÎPÉ (RSFÎPÉ) qui met en vedette des étudiants d’expression française qui ont été proposés pour recevoir la mention spéciale d’Étoile Montante.  Cette reconnaissance souligne leur arrivée imminente sur le marché du travail dans le système de santé. 

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Par Georges Arsenault

Le Centre de recherche acadien de l’Île-du-Prince-Édouard, situé au Musée acadien, s’est récemment enrichi d’une impressionnante collection de lettres écrites par le missionnaire Cornélius Pineau (1900-1983). Fils de Théophile Pineau et de Marguerite Gaudet de Rustico, il a oeuvré en Chine à partir de 1935 et aux Philippines de 1954 jusqu’à sa mort en 1983. 

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