Culture
Un spectacle de variétés, avec plusieurs artistes locaux aura lieu le dimanche 6 octobre à 19 h à la salle paroissiale de Mont-Carmel. Ce spectacle-bénifice est organisé par la Coopérative de développement culturel et patrimonial de Mont-Carmel.
Le quatrième et dernier spectacle ayant lieu pendant le Festival de la chanson du Grand Ruisseau, organisé par la Coopérative de développement culturel et patrimonial de Mont-Carmel (CDCPMC), aura lieu ce dimanche 29 septembre à la salle paroissiale de Mont-Carmel à compter de 19 h.
Il y a déjà plus d’un mois que le festival La Semaine acadienne a pris fin en Normandie, France. Pour la Famille Gallant-MacInnes de St-Timothée, l’expérience est gravée et ne s’effacera jamais.
La Coopérative de développement culturel et patrimonial de Mont-Carmel (CDCPMC) est heureuse d’annoncer que la 15e édition du Festival de la chanson du Grand Ruisseau aura lieu à la salle paroissiale de Mont-Carmel.
Jusqu’au second jeudi de septembre, il est possible de visiter l’exposition «Sous le vent» de Dominique Cruchet et Joan Cullen, à la galerie d’art de Breadalbane, située dans le centre communautaire du petit village, sur Dixon Road.
Tel que prévu, Michel Lalonde a présenté son spectacle intime, de Glen à Garolou, le samedi 24 août, à la salle paroissiale de Mont-Carmel. Le public était relativement peu nombreux mais très connaisseur. De nombreuses personnes savaient les mots des chansons. Excellent conteur, Michel Lalonde alterne les chansons avec des épisodes de sa vie comme personne et comme artiste. Cette formule «spectacle-causerie» a eu l’air de plaire. (J.L.)
La série de spectacles qui sont organisés par la Coopérative de développement culturel et patrimonial de Mont-Carmel a présenté son dernier concert de sa série 2024, le dimanche 25 août.
«Mon rôle de rêve, ce serait de jouer Ellie Woods dans la production musicale de Legally Blond. Pour moi, ce serait un grand accomplissement», dit la jeune femmes, en visite chez ses parents, Monique et Derek Cameron à Summerside. Même pendant ce séjour de deux semaines à Summerside, elle a enchaîné les auditions, pour se faire connaître et pour prendre de l’expérience.
Quiproquo Production, en collaboration avec la Coopérative de développement culturel et patrimonial de Mont-Carmel, présente De Glen à Garolou, le nouveau spectacle solo de Michel Lalonde, le samedi 24 août à la salle paroissiale de Mont-Carmel.
Le vendredi 2 août, les habitués des concerts du Festival Under the Spire ont profité d’un concert complètement d’actualité. Les quatre saisons de Vivaldi, oui, mais à l’heure des changements climatiques, agrémentés de poèmes à thèmes environnementaux lus en français et en anglais. La soirée a duré une année.
Les sept artistes qui ont présenté le spectacle Ode à l’Acadie des centaines de fois depuis le 15 juillet 2004, sont remontés sur scène le temps de deux spectacles récemment à Caraquet. Les spectacles se voulaient un hommage à l’idéateur Paul-Marcel Albert en plus de souligner le 20e anniversaire de l’aventure.
Le Congrès mondial acadien sera l’occasion par excellence de voir et d’entendre des artistes exceptionnels de la diaspora acadienne. Cinquante-deux spectacles seront présentés, dont les quatre majeurs : le Festival d’ouverture, le spectacle de la Fête nationale de l’Acadie, l’Ultime Tyme et l’Au revoir.
Quand Paul D. Gallant a quelque chose dans la tête, les montagnes se tassent pour le laisser passer. Déjà en 2023, la «renaissance» de la production musicale Port-La-Joye était au programme des Productions Cuisine à Mémé. Divers facteurs ont contribué au report du projet, mais pour Paul D. Gallant, il n’était pas question d’abandonner. Les montages se sont tassées un peu plus et les astres se sont alignés.
Des installations artistiques et lumineuses sur le terrain de l’événement, imaginées par les artistes Patrick Brunet et Kelly Caseley, créaient déjà une balade fantaisiste.
Pour ceux qui étaient à Rustico samedi dernier dans le cadre du 30e Rendez-vous Rustico, ça a swingé pour le spectacle du groupe légendaire acadien 1755.
Une très attrayante galerie «Mermaid Tales of the Island» de Lucie B. Bellemare se trouve au cœur de Gateway Village dans le village de Borden-Carleton.
Edna Gallant de Saint-Chrysostome est une artiste peintre dont la réputation dépasse de plus en plus les frontières de la région Évangéline. Autodidacte, si on exclut les quelques cours et les «mille et les mille vidéos» qu’elle a regardés sur YouTube, elle n’arrête pas de pousser son exploration aux limites de son talent, qu’elle n’a certes pas atteintes. C’était un plaisir de passer quelques heures avec elle dans son studio.
La jeune soprano, Robyn Perry, est en tout début de carrière, ayant terminé sa maîtrise en chant classique à Montréal en 2023. Cela ne veut pas dire qu’elle a cessé d’étudier. Au contraire. Le rôle de Rose dans Port-La-Joye arrive dans sa vie à une période où elle est en intense recherche de sa propre voix.
La Fédération culturelle de l’Île-du-Prince-Édouard présente la quatrième édition du Festival Route 11 du 25 au 28 juillet. Parmi les plusieurs événements musicaux, culinaires, et artistiques au cours du weekend, la Journée familiale aura lieu au parc provincial Union Corner le samedi 27 juillet. En plus d’un horaire rempli de jeux, d’activités artistiques, et de divertissement dans chaque coin du parc, cette année voit l’ajout d’un spectacle Jack Pine Folk Club sous la petite tente.
Le spectacle La Veillée au Village 2024, présenté deux soirs par semaine jusqu’à la fin août au Village musical acadien, réunit sur scène certains des artistes les plus talentueux de la région Évangéline dans le but de rendre hommage aux artistes d’ici et d’ailleurs et surtout, de faire briller la chanson et la musique acadiennes de l’Acadie toute entière. Plus qu’il n’en faut pour passer une belle soirée.
Sur la scène : Louise Arsenault, Johnny Rae Arsenault, Caroline Bernard, Rémi Arsenault et Shane Arsenault. À eux cinq, ils réussissent un véritable tour de force : présenter une vue d’ensemble de ce qui se fait de mieux, musicalement, dans l’Acadie d’hier et d’aujourd’hui, à un public connaisseur ou qui, au contraire, ne connaît pas du tout le répertoire.
Le spectacle conçu par Caroline Bernard et Rémi Arsenault, en collaboration avec plusieurs autres artistes, est un peu long, mais en même temps, il n’y a rien qui peut être enlevé. Chaque numéro est parfait comme il est et tous les artistes qui sont représentés méritent amplement l’hommage qui leur est fait.
Parmi ceux-ci, mentionnons Angèle Arsenault, Lennie Gallant, Jeannita Bernard, 1755, Lisa LeBlanc, Zachary Richard, Bruce Daigrepont, Barachois, Tim Chaisson et Gary Gallant, pour n’en nommer que quelques-uns.
Chaque chanson de chaque artiste a été sélectionnée avec soin pour utiliser au maximum les talents quasi illimités des chanteurs et des musiciens disponibles sur scène.
Chaque artiste auquel on rend hommage fait l’objet d’une présentation narrée, en français et en anglais, par Michel Lalonde, dont la belle voix riche est très agréable à écouter. Cela permet au public, peu importe son origine, d’avoir une vue d’ensemble de la richesse musicale en même temps qu’une meilleure compréhension de la vie dans la région Évangéline.
Également, chaque artiste fait aussi l’objet d’une présentation visuelle diffusée par deux écrans, de part et d’autre de la scène. Des photos choisies avec soin et de très beaux effets visuels, conçus par Patricia Richard défilent sur ces deux écrans, offrant au public un léger surplus d’information et un complément à l’expérience qui est déjà très complète.
Quelques bijoux : une vidéo tournée il y a déjà plusieurs années par Barachois (Albert Arsenault, Hélène Arsenault-Bergeron, Louise Arsenault et Chuck Arsenault), mettant en vedette Marianne Rousselle dans son costume de «Mémé», autour de l’air traditionnel de violon intitulé «La Marmotteuse». «Je n’avais jamais vu cette vidéo», a affirmé Raymond Bernard, dans l’assistance.
Un autre bijou, conçu spécialement pour ce spectacle, consiste à suivre Lali et Theodore (Louise Arsenault et Shane Arsenault) dans leur périple vers les Îles-de-la-Madeleine, eux qui n’ont «jamais été plus loin que Summerside».
Comme il s’agit d’un souper-spectacle, un souper est servi avant le début du spectacle. Une salade verte et un bol de moules en entrée sont suivis par deux choix, faits au moment de la réservation : la casserole de fruits de mer au gratin avec patate au four et légumes ou la variété acadienne composée de râpure, fricot et pâté à la viande.
Ce spectacle est offert deux soirs par semaine, les mardi et mercredi. Les soirs ne changent pas, mais les heures peuvent varier (parfois 17 h, parfois 18 h 30). Il faut se référer au site Web ou encore téléphoner directement au Village musical acadien pour savoir l’heure exacte de la représentation à laquelle vous voulez assister. La soirée qui commence à 18 h 30 finit un peu avant 22 heures.
Depuis plusieurs semaines, des groupes d’artistes, discipline par discipline, répètent et, dans certains cas, s’entraînent, en vue de bien performer les 27 et 28 juillet prochains, dans la production musicale Port-La-Joye. Pour plusieurs des comédiens et danseurs impliqués dans ce projet, cette production est l’équivalent des Olympiques.
Le légendaire groupe acadien 1755 sera de la fête lors du 30e anniversaire de Rendez-vous Rustico, le 27 juillet prochain. Ce sera un retour du groupe à l’Île après dix ans.
Annoncé depuis quelque temps déjà, le lancement de l’album La petite robe rouge, de Julie Gagnon et de Julie Pellissier-Lush, a eu lieu comme prévu dans le cadre du Salon du livre de l’ÎPÉ, le vendredi 31 mai. Le livre a été accueilli avec beaucoup de respect et de reconnaissance pour l’important message qu’il contient.