Éducation
Deux harmonies de l’École François-Buote et une harmonie de l’École La-Belle-Cloche sont revenues du Atlantic Festivals of Music à Halifax avec deux mentions Or et une mention Argent. Un excellent résultat pour ces élèves qui se préparent depuis déjà plusieurs mois à cette expérience.
Le Forum local du Français pour l’avenir a réuni à Charlottetown 250 élèves de 9e année provenant de six écoles, autant de la Public School Branch que de la Commission scolaire de langue française. Grâce à la collaboration avec RDÉE ÎPÉ et son projet sur les emplois verts, et Parcs Canada, les jeunes ont pu découvrir de nombreuses possibilités d’emplois où leur bilinguisme sera un atout.
En 6e année à l’École François-Buote, Norah Chevalier-Bertin se rendra à Montréal le 18 mai, avec sa famille, pour représenter la région de l’Atlantique à la Grande Finale internationale de la Dictée PGL. Son entraînement consiste à faire des dictées.
Dominique Morency, directrice à l’École Évangéline a été nommée la récipiendaire 2024-2025 de la Pomme d’or professionnelle, le prix créé par l’Association des enseignants et enseignantes (AEELF) de la Commission scolaire de langue française.
La Commission scolaire de langue française (CSLF) a tenu sa réunion mensuelle du mois d’avril au Centre acadien de Rustico le 15 avril dernier. Des mises à jour sur plusieurs dossiers en cours ont été présentées.
La conjointe de feu Pierre Arsenault, Lucille Collette, désire créer pour une deuxième année de suite, la bourse Pierre Arsenault au montant de 5 000 $. Elle invite les étudiant.e.s qui recevront un diplôme de douzième année d’une école francophone de la province de l’ÎPÉ de soumettre leur candidature. L’étudiant.e qui sera choisi.e pour la bourse devra être inscrit.e à une institutions postsecondaire francophone.
L’Expo-sciences provinciale 2025 a eu lieu le mardi 8 avril au Centre Eastlink à Charlottetown. Des milliers de dollars ont été attribués sous la forme de prix de spécialité ou autres. Mais pour William Whelan, qui participe à l’organisation de cet événement depuis très longtemps, la véritable récompense, c’est la découverte elle-même.
Le vendredi 31 janvier dernier, les élèves de la maternelle à la 6e année de l’École-sur-Mer se sont réunis lors de leur première assemblée d’école. Un des grands buts de l’École-sur-Mer et de la CSLF est de travailler la communication orale, afin que les élèves se sentent confiants et compétents lorsqu’ils s’expriment en français.
Le Comité acadien et francophone de l’Est à Rollo-Bay organise une nouvelle session de cours de français pour adultes débutants à partir du 6 février. L’occasion notamment pour les parents anglophones de l’École La-Belle-Cloche de se familiariser avec la langue d’Antonine Maillet et de pouvoir mieux accompagner leurs enfants.
L’association provinciale des échecs interscolaires tient régulièrement des tournois et est toujours intéressée à ajouter des clubs scolaires et à susciter chez les jeunes l’intérêt pour ce loisir. L’association distribue même des kits de départ dans les écoles qui en font la demande.
Avant les vacances de Noël, une activité spéciale a eu lieu dans la classe de 4e année de l’École Pierre-Chiasson, à DeBlois, enseignée par Angela Pendergast. Les élèves ont eu la chance de découvrir l’art de la peinture de chandelles grâce à l’invitée, Eileen Chiasson-Pendergast, qui a animé cet atelier créatif.
Au cours de la dernière année, un comité provincial formé de représentants des deux commissions scolaires, du ministère de l’Éducation et de la Petite enfance, et des services sociaux, s’est concentré sur l’assiduité des élèves à l’école, en d’autres termes, les taux d’absentéisme qui tardent à revenir à leurs bas niveaux d’avant la COVID-19. Des initiatives sont à prévoir.
Le lundi 9 décembre était un jour de fête pour la famille élargie de l’École Évangéline. Les plans concepts du futur centre scolaire et communautaire et culturel et préscolaire qui logera aussi une partie des employés de la CSLF ont été dévoilés. Une étape cruciale pour plusieurs raisons.
La Légion de Summerside a dévoilé les gagnants de son concours de dessin et de poèmes en marge du Jour du Souvenir et sept élèves de 5e année à l’École-sur-Mer ont mérité des prix.
Malgré l’existence du programme GénieArts, l’éducation à l’art dans les écoles de l’Île-du-Prince-Édouard n’est pas toujours à la hauteur. L’art en classe facilite pourtant l’apprentissage des enfants, améliore leur santé mentale et contribue à développer leur sentiment d’appartenance communautaire.
Une équipe de chercheurs de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard veut créer des ressources pédagogiques sur le changement climatique pour les élèves de la maternelle à la 12e année, en anglais et en français. Une initiative vue d’un bon œil par le ministère de l’Éducation, qui assure néanmoins que ces enjeux sont déjà intégrés tout au long du parcours scolaire.
Deux représentants de la Commission scolaire de langue française (CSLF) de l’Île-du-Prince-Édouard ont participé, à la mi-octobre, à une réunion du Comité permanent des langues officielles de la Chambre des communes. Ils ont notamment parlé du financement insuffisant des six écoles de la province au regard de l’augmentation du nombre d’élèves et des besoins accrus de francisation.
La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) est heureuse d’annoncer que son 34e congrès annuel et Assemblée générale se tiendront les 24, 25 et 26 octobre prochains à Charlottetown, sous le thème : « Mon école : branchée sur ma communauté et ouverte sur le monde ! ».
Depuis des années, Jeannette Gallant de Baie-Egmont donne une grande partie de son temps aux jeunes de l’Île-du-Prince-Édouard et en particulier de la région Évangéline. Son travail n’est pas passé inaperçu et la Commission scolaire de langue française vient tout juste de créer le Prix Jeannette Gallant, qui sera attribué pour récompenser le leadership au profit de la collectivité et plus particulièrement, de la jeunesse.
Le transport scolaire est une préoccupation quotidienne à la Commission scolaire de langue française. Six écoles desservant l’ensemble de la province, avec une répartition très éclatée des lieux d’habitation des ayants droit obligent les gestionnaires à «être raisonnables», pour trouver un équilibre entre la réalité et une situation qui serait idéale.
Les institutions d’enseignement postsecondaire qui reçoivent des étudiants étrangers ont connu une année en dents de scie, avec des hauts, mais surtout des bas, entraînés par les règles changeantes à Immigration, Réfugié et Citoyenneté Canada. «Je ne vous le cacherai pas, j’étais inquiet. Mais il semble que nous ayons réussi à maintenir nos chiffres et même, à les augmenter un peu», dit le président du Collège de l’Île, Sylvain Gagné.
Accueil des maternelles, inscriptions de dernière minute, septembre s’annonce chargé. Face à des élèves de plus en plus actifs et devant les écrans, les responsables de la Commission scolaire de langue française veulent aussi faire évoluer les méthodes d’enseignement.
Une chercheuse en psychologie de l’Île-du-Prince-Édouard lance une recherche afin d’améliorer les évaluations psychoéducatives pour les enfants ayant des troubles de l’apprentissage. L’accès à ces tests est loin d’être évident et le processus peut être éprouvant pour les familles.
Après le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard vient de limiter l’utilisation des cellulaires dans les écoles. Les acteurs de l’éducation saluent une mesure qui uniformise les règles à l’échelle de la province. Mais ils préviennent, le ministère provincial de l’Éducation doit envoyer un message fort aux parents et aux élèves dès la rentrée.