Santé
Le taux de mélanomes, principalement favorisé par l’exposition au soleil, est plus élevé à l’Île-du-Prince-Édouardque dans le reste du pays. Des mesures de prévention simples permettent pourtant d’éviter ce cancer de la peau mortel.
Les tempêtes comme Fiona et Dorian altèrent aussi la santé mentale des Insulaires et le tissu social au sein des communautés. La préparation des autorités et des acteurs de terrain est essentielle pour éviter l’apparition de troubles psychologiques graves au sein de la population.
La COVID-19 n’est certes plus le sujet de l’heure à l’Île-du-Prince-Édouard, mais le virus est tout de même toujours présent. Les indicateurs montrent d’ailleurs une hausse des cas à partir de la dernière semaine du mois d’août. De nouveaux vaccins sont sur le point d’arriver à l’Île.
La mise en place de soins à domicile bilingues dans le comté de Prince aurait pu être lancée au moins deux années plus tôt. Le financement sur cinq ans a cependant coïncidé avec la pandémie, suivie de près par Fiona. «Le projet a pris du retard. Finalement, on a réussi à aboutir à quelque chose et en raison de tous les retards, le financement de mon poste de gestionnaire de projet bilingue a été prolongé», dit Lisa Gotell, gestionnaire de projets bilingues à Santé ÎPÉ, qui coordonne ce projet depuis environ un an et demi.
Pendant la pandémie de COVID-19, les immigrants des provinces de l’Atlantique avaient une meilleure santé mentale que les non-immigrants de la région. C’est ce que révèle une étude de Statistique Canada. Les immigrants, prêts à quitter leur pays d’origine, seraient mieux préparés à affronter des difficultés.
La santé mentale des jeunes s’est détériorée depuis la pandémie de COVID-19. La détresse psychologique s’aggrave, mais l’accès à des services d’aide demeure difficile.
À l’Île-du-Prince-Édouard, comme partout au pays, le dépistage et le traitement de certains cancers ont été retardés, voire interrompus à cause de la pandémie de COVID-19. Tout le retard n’a pas été rattrapé, et les conséquences ne seront pas quantifiables avant plusieurs années.
Chaque hiver, les virus respiratoires font leur retour. Rhumes, grippes, angines, les nez coulent ou sont bouchés, les gorges grattent et brûlent. Mais comment prenons-nous froid? Une étude américaine vient de démontrer que les températures froides stoppent la libération dans notre nez de petites billes surprenantes aux pouvoirs anti-infectieux.
Cette année, les épidémies de virus respiratoires sont plus précoces et intenses que d’habitude. Les enfants de moins de trois ans sont particulièrement touchés. Pourquoi ces épidémies sont-elles si fortes? Le concept de dette immunitaire pourrait expliquer cette situation inédite.
À l’Île-du-Prince-Édouard, la Commission scolaire de langue française (CSLF) manque de psychologues scolaires. Les enseignants, des travailleurs jeunesse et des conseillers scolaires tentent de répondre aux besoins des élèves. Mais selon la CSLF, la santé mentale des jeunes ne s’est pas forcément détériorée ces dernières années.
À l’Île-du-Prince-Édouard, comme partout au pays, les psychologues scolaires sont une denrée rare. Au sein de la Commission scolaire de langue française (CSLF), le poste est vacant depuis quelques années déjà.
La direction de la CSLF a dû faire appel aux services d’une psychologue du Nouveau-Brunswick. La praticienne vient régulièrement dans les six écoles francophones pour faire des évaluations et répondre aux besoins des élèves. Durant cette année scolaire, elle va venir à trois reprises, pendant une à deux semaines à chaque fois.
Pour pallier le manque de psychologues, des travailleurs jeunesse et des conseillers scolaires aident les jeunes au quotidien. Ils sont un ou deux par école, selon la taille de l’établissement. Mais là aussi, la CSLF est confrontée à une pénurie. L’École La-Belle-Cloche cherche toujours son conseiller scolaire. «On utilise au mieux qu’on peut les ressources que l’on a», réagit Vénessa Tessier, coordinatrice des services aux élèves au sein de la CSLF.
Alors que la santé mentale des jeunes est fragilisée par la pandémie et la crise climatique, les psychologues scolaires ne sont pas assez nombreux et ne disposent pas de moyens suffisants pour prévenir les situations de grande détresse.
Depuis le début de la pandémie, personne ne sait exactement combien d’enfants et d’adolescents ont été infectés par le coronavirus au Canada. Une étude pancanadienne vient d’être lancée pour remédier à ce manque de données, et aider les autorités de santé publique à mieux gérer la crise sanitaire.
Trishtee, qui est originaire de l’île Maurice, a développé, très jeune, un intérêt marqué pour la santé et une passion pour la cuisine. Les deux furent instillés par ses grands-parents qui étaient chefs et sa mère qui est infirmière. Trishtee a grandi entre la cuisine familiale et l’hôpital où travaillait sa mère.
Les patients dans les installations de soins actifs ont droit à trois partenaires de soins; les patients hospitalisés en attente de soins de longue durée et les résidents d’établissements de soins de longue durée ont droit à six partenaires de soins et il peut y avoir deux partenaires de soins à la fois.
Charlottetown, Île-du-Prince-Édouard – Les éclosions de COVID-19 à l’unité 7 de l’hôpital Queen Elizabeth et à la maisonnée Fox Meadow du foyer Prince Edward sont déclarées terminées.
Cherchant toujours des occasions pour promouvoir la bonne santé, l’exercice et la nutrition saine, le Réseau Santé en français ÎPÉ (RSFÎPÉ) s’allie encore une fois avec les organisateurs du Tournoi de golf acadien pour commanditer l’édition 2022 de l’évènement sportif et récréatif. Le Réseau Santé est non seulement commanditaire de trou, mais également fournisseur de fonds pour l’achat de collations santé pour les golfeurs et bénévoles de la 16e édition du tournoi, qui se déroulera le dimanche 21 août au Terrain de Mill River à Woodstock.
En plein cœur de l’été, La Voix acadienne répond aux questions que vous vous posez sur le soleil, ses dangers, et les manières de s’en protéger.
Soleil, plage, parasol, bronzage, mais aussi coups de soleil et peau qui pèle, sont au menu de cet été pour les Insulaires et les nombreux touristes en vacances à l’île. Ne vous êtes-vous jamais demandé quelle est la différence entre le bronzage et le coup de soleil, pourquoi la peau pèle? La Voix acadienne répond à vos questions sur le soleil et ses dangers.
Une épidémie de mains-pieds-bouche sévit actuellement chez les jeunes enfants à l’Île-du-Prince-Édouard, et dans plusieurs autres provinces du pays. Ce syndrome doit son nom aux éruptions cutanées qu’il provoque sur ces zones ciblées. Le virus très fréquent et totalement bénin n’en est pas moins inconfortable et douloureux.
Depuis trois ans, le centre provincial de ressources familiales francophone, Cap enfants, mène un projet axé sur la santé des enfants de 0 à 6 ans. Plusieurs activités ont pu être réalisées grâce aux fonds octroyés sur trois ans par l’Agence de santé publique du Canada. Bonne nouvelle, le financement garantit un prolongement de deux ans du projet Petite enfance en santé.
Lors de la présentation du budget 2022-2023, Darlene Compton, ministre des Finances et Présidente du Conseil du Trésor de l’Île-du-Prince-Édouard a indiqué que son gouvernement reconnaissait les conséquences des 23 derniers mois sur la santé mentale des Insulaires.
Andrew Farag est dans sa 3e année de résidence en ophtalmologie à l’Hôpital Hôtel-Dieu de Sherbrooke. Après un diplôme de sciences de la santé à l’Université de Moncton, il a complété son doctorat en médecine à l’Université de Sherbrooke et y effectue une résidence de 5 ans. Andrew voit des patients et participe aux chirurgies sous la supervision d’un ophtalmologiste qui fournit des rétroactions sur son travail.
Colette Arsenault d’Abram-Village a subi une crise cardiaque le 19 novembre 2021. Sonny Gallant de Miscouche a eu un malaise cardiaque le 9 janvier dernier. Tous deux ont bien récupéré et veulent transmettre un message important : signalez le 911 en cas de malaise «difficile à décrire».
Le mercredi 1er décembre, c’est la journée mondiale de lutte contre le sida. Alors que la pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif sur la prévention et la prise en charge du VIH, unebonne nouvelle est tout de même à souligner. Pour la deuxième fois dans l’histoire, une personne s’est spontanément débarrassée du virus. On ignore encore les mécanismes immunologiques ayant conduit à son éradication naturelle.
Novembre est, entre autres, le mois de sensibilisation au diabète. En ce mois de novembre 2021, on souligne également le 100e anniversaire de l’insuline par des chercheurs canadiens, Frederick Banting, Charles Herbert Best, John J.R. Macleod et James Bertram Collip. Martha Richard-Arsenault est reconnaissante à ces chercheurs, car sans leur découverte, ses enfants n’auraient pas survécu.