Avocat des demanderesses dans le cas Arsenault-Cameron qui a comparu devant la Cour suprême du Canada, Robert McConnell compare son rôle à celui d’un chauffeur de limousine qui a pu conduire sa passagère, la cause, à bon port, sans accident. «Et je ne dis pas cela par fausse modestie. Une fois que la Cour suprême a accepté de nous entendre, c’était gagné, selon moi», dit Robert McConnell. La Voix acadienne s’est entretenue avec l’avocat à la retraite le mercredi 8 janvier, dans sa maison de Wheatley River, près de Rustico.