Éducation
L’École François-Buote a tenu, le 1er juin dernier, son Gala Méritas, en soirée. Quelque 32 prix répartis dans les volets : Académique, Vie scolaire, Musique, Arts visuels, Technologie, Sports et métier ont été présentés.
L’École Pierre-Chiasson a tenu son Gala des étudiants la semaine dernière en après-midi avec une célébration pour les élèves seulement. L’après-midi a débuté avec les classes de musique de l’élémentaire qui ont chanté des chansons pour ouvrir la célébration.
Voici les prix qui ont été remis lors du Gala :
Prix de l’honneur académique (plus haute moyenne)
2e-3e année : Owen Hudson
4e-5e année : Miley Chaisson
6e année : Caleb Chaisson
7e-9e année : Makayla Perry
10e-12e année : Brooke-Lynn Currie
Musicien/musicienne de l’année
Primaire : Clara Doucette
Secondaire : James Nickerson
Prix du directeur
Mallory Dunbar
Prix de l’amitié (prix donné par le Centre de la petite enfance l’Arc-en-ciel)
Primaire : Quinn Reilly
Élémentaire : Clara Doucette
Intermédiaire/secondaire : Callie Campbell
Prix Acadien et Acadienne de l’année (donné par le Conseil Rév. S.-É-Perrey inc.)
Primaire : Corbin Hardy et Rayne Lee Tremblay
Secondaire : Brooke-Lynn Currie et Zavier Délarosbil
Athlète de l’année
Primaire :
Nash Richard et Taylor Charlie
Intermédiaire :
Simon Doucette et Rachael Arsenault
Secondaire :
Théo Hustler et Jorja Shields
Athlète le plus dédié
Primaire : Oscar Arsenault
Secondaire : Paris Murray
Prix de l’Esprit sportif
Primaire : Brooke Gordon
Secondaire : Sophie Hilton
Le Thé des retraités est une belle tradition qui se poursuit. C’est une occasion pour la Commission scolaire de langue française (CSLF) et aussi pour l’Association des enseignants et enseignantes de langue française de souligner des carrières et les accomplissements des retraités, mais également, de tous les membres du personnel. Le Thé des retraités 2022 a eu lieu le 9 juin pour la toute première fois à l’École Pierre-Chiasson (ÉPC).
Le gouvernement de l’Î.-P.-É. encourage les Prince-Édouardiens à proposer leur candidature dans le cadre des prochaines élections scolaires pour la Commission scolaire de langue française de l’Î.-P.-É. et la Direction des écoles publiques de langue anglaise.
Afin d’aider à combler le manque de préposés aux soins à l’Île-du-Prince-Édouard, les étudiantes et étudiants qui suivent une formation dans le domaine peuvent désormais voir leurs frais de scolarité payés au complet.
Le 1er juillet 2019, l’Île-du-Prince-Édouard est devenue la première province à bannir sur l’ensemble de son territoire les sacs plastiques à usage unique, et tout le monde a survécu à ce changement, qui n’était pas banal, parce que les plastiques d’emballage comptent pour environ 36 % de tous les plastiques qui se retrouvent dans l’environnement.
Grâce à leurs classes de finissants et finissantes relativement petites, les cinq écoles secondaires de la Commission scolaire de langue française peuvent faire ce qu’elles veulent en matière de cérémonie de remises de diplômes, sans se heurter à des contraintes sanitaires. Pourtant à l’École François-Buote, les élèves ont préféré conserver la formule intime des deux dernières années, au moins pour une partie des activités.
Après avoir été obligé de recruter en urgence et, pour de courtes périodes, le Collège de l’Île espère maintenant pourvoir plusieurs postes de façon stable et durable. Le marché de l’emploi est favorable aux employés, ce qui a un impact sur le type de recrutement qu’on fait.
Il y a quelques mois seulement, la Coopérative d’intégration francophone a obtenu du financement pour créer un poste pour appuyer l’établissement et l’intégration des nouveaux arrivants dans les écoles de la CSLF. C’est ce poste qu’occupe Félicienne Otchoun depuis décembre. Les premiers mois ont servi à préparer du matériel et à faire connaître ce nouveau service. Cependant, en raison de la COVID-19, elle n’a pas encore pu intervenir dans les écoles. Ça va changer.
L'UNESCO se mobilise pour assurer la continuité éducative et aider les enseignants et les apprenants en Ukraine. Dans le cadre de sa Coalition mondiale pour l'éducation, l'Organisation va notamment fournir du matériel informatique et des contenus d'apprentissage numériques. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février, l’UNESCO n’a cessé d’appeler au respect du droit humanitaire international afin de protéger l’éducation.
Pour faire suite aux articles publiés les 23 février et le 2 mars, la Commission scolaire de langue française (CSLF) a réitéré, dans un communiqué de presse diffusé le vendredi 4 mars, qu’elle ne fait aucun compromis sur la sécurité et le bien-être des élèves. «La CSLF par l’entremise de ses écoles, priorise le bien-être et la sécurité de tous ses élèves. Le bien-être et la sécurité des élèves ont toujours été une priorité et continueront de l’être», a déclaré Gilles Benoit, président du conseil d’administration de la CSLF.
Le Mois de l’histoire des Noirs a lieu chaque année en février. Pour des enseignants dans toutes les écoles, ce mois est une occasion d’enseigner, d’explorer d’autres cultures et d’apprendre à vivre ensemble. Invitée par Julie Gagnon, l’enseignante de la classe de 5e et 6e année de l’École Saint-Augustin, La Voix acadienne a constaté que les enfants comprennent déjà beaucoup de choses.
La classe de 4e année de Caroline Foucher à l’École-sur-Mer à Summerside vit au rythme des Olympiques. En lecture, en écriture, en art, en sciences humaines, en mathématiques, les Olympiques servent à enrichir les vécus scolaires. Ce qui aide, c’est que les élèves sont très intéressés.
NDLR : La Voix acadienne offre en partenariat avec le journal La Liberté, le magazine Nature Mag Junior créé par leur équipe et mis à la disposition à nos lecteurs et lectrices à travers notre site Web au www.lavoixacadienne.com. Vous y trouverez le lien pour y accéder. Nous invitons les parents et les enseignants à encourager les jeunes à aller découvrir ce magazine de 52 pages très bien illustrées qui parle de l’importance de l’écologie et donne les clés de la compréhension de plusieurs grands thèmes.
Trois matins par semaine, tous les élèves qui fréquentent une école de l’Île-du-Prince-Édouard doivent «réussir» un test rapide de COVID-19, c’est-à-dire obtenir un résultat négatif, avant de monter dans l’autobus et de franchir les portes de l’école. Le masque est aussi obligatoire. Ces mesures, toutes contraignantes soient-elles, ont permis la réouverture des écoles, le 31 janvier dernier.
Les élèves de 4e année de l’École Saint-Augustin, à Rustico, ont mangé des crêpes le mercredi 2 février, à l’occasion de la Chandeleur. C’est l’enseignante Susan Shive qui a pris l’initiative de préparer des crêpes pour ses élèves ainsi que pour le personnel du Centre acadien Grand-Rustico. L’activité a eu beaucoup de succès. Les crêpes, on le sait, ont des pouvoirs magiques. Elles protègent de la gale, encouragent le soleil à se lever de plus en plus tôt et à se coucher de plus en plus tard, et en plus, elles goûtent bon.
Le mercredi 26 janvier avait lieu le Forum citoyen pour l’Atlantique sur l’enseignement postsecondaire en français dans la région. Il s’agissait d’un des quatre forums citoyens régionaux devant alimenter le tout prochain sommet des états généraux, en mars 2022. En Atlantique, l’importance de la proximité des institutions, et le fait qu’étudier en français coûte souvent plus cher font partie des constatations émises.
Greg Urier de la région de la capitale provinciale et sa femme Mélissa sont parents d’un fils, Benjamin, qui est en quatrième année et d’une fille, Emma, qui est en maternelle à l’École François-Buote. Joint par téléphone le vendredi 14 janvier, le père de famille se préparait mentalement à une seconde semaine complète d’école à la maison.
Gilles Arsenault a été choqué lorsque l’animatrice du bulletin d’information de CBC, Compass, a demandé à ses intervenants pourquoi on n’a pas été capable de reprendre l’école à la maison plus rapidement après les fêtes. «Par chance, dit Gilles Arsenault, il y a de moins en moins de gens qui pensent qu’il suffit d’allumer l’ordinateur pour que l’école à la maison puisse se faire».
Le mardi 18 janvier, vers la mi-journée, le gouvernement provincial a annoncé que l’école à la maison, en vigueur depuis le début de l’année, allait être prolongée jusqu’au 31 janvier. Cette annonce était impatiemment attendue, en raison de la nécessité de planifier, et de la tempête qui allait perturber le week-end.
En septembre dernier, les élèves de 5e et 6e année de l’école française de Rustico, l’École Saint-Augustin, ont écrit au premier ministre Justin Trudeau, à propos de l’absence d’eau potable dans plusieurs communautés des Premières Nations. Voici qu’en ce début d’année, les élèves reçoivent une réponse.
À peine installés dans sa toute nouvelle et magnifique section du secondaire, les élèves de l’École-sur-Mer à Summerside sont à nouveau confrontés à des contraintes qui n’ont rien à voir avec la COVID. Leur gymnase et d’autres installations sont en construction. En attendant que tout retombe en place, des solutions temporaires sont appliquées.
La francisation et les compétences en littératie sont un enjeu crucial pour assurer la pérennité de la communauté francophone de l’Île-du-Prince-Édouard. Depuis sept ans, la Commission scolaire de langue française (CSLF) a mis sur pied un programme pour aider les élèves à améliorer leur niveau de français, à l’écrit et à l’oral. Anne-Marie Rioux, la coordonnatrice, nous aide à mieux comprendre.
Le mois de septembre a été éprouvant à l’École La-Belle-Cloche à Rollo Bay. Un seul cas positif de COVID-19 d’une élève au primaire a entraîné un branle-bas de combat impressionnant et la mise en isolement de 25 familles pendant deux semaines. Une situation qui pourrait se répéter, étant donné les multiples interactions des élèves chaque jour.