Communauté
Dans le cadre du programme de subvention Seniors Community Meal du Secrétariat des aînés de l’ÎPÉ, les membres du Club des cœurs joyeux ont pu participer à quatre sessions de préparation de repas santé à emporter pour la maison.
«C’est une autre année assez occupée qu’a connue La Voix acadienne et le projet de la relève a mobilisé bien du temps des membres du conseil», de dire Yvonne Deagle, présidente du conseil d’administration, lors de la réunion annuelle tenue le 18 juin.
Fidèle à son parcours vers la réconciliation entrepris il y a quatre ans, l’École Saint-Augustin a organisé une belle cérémonie le 21 juin, jour du solstice d’été et Journée nationale des peuples autochtones.
Dans la foulée de la discussion qui a eu lieu lors de l’AGA du Conseil scolaire-communautaire Évangéline (CSCÉ) à propos du secret qui semble entourer les travaux du comité de construction du futur centre scolaire et communautaire de la région, La Voix acadienne a pris contact avec Tilmon Gallant, le président du comité, pour tenter de dissiper les nuages. Selon lui, il n’y a pas de raison que les gens de la communauté ne soient pas mis au courant des avancements, sauf qu’à l’heure actuelle, dit-il, il n’y a pas grand-chose à dire.
La grande salle du centre de soins communautaire Le Chez-Nous, à Wellington, s’est remplie le vendredi 7 juin pour le lancement de deux livres relatant l’histoire de la Coopérative. Le premier livre «Les mémoires de Lorraine Gallant» a vu le jour au mois de janvier dernier à l’aide de l’écrivain Raymond J. Arsenault et l’appui de l’administration du Chez-Nous tandis que le livre «Les 30 premières années de La Coopérative Le Chez-Nous Ltée» a été lancé officiellement dans le cadre du Salon du livre la semaine dernière à Charlottetown (https://lavoixacadienne.com/communaute/4903-un-second-livre-vient-couronner-le-30e-anniversaire-de-la-cooperative-le-chez-nous).
L’année 2023 marquait les 30 ans d’existence de la résidence de soins communautaire Le Chez-Nous, à Wellington. Pour souligner ce jalon important, et pour que personne n’oublie les débuts, deux livres sont maintenant disponibles. Un lancement conjoint aura lieu ce vendredi 7 juin à 14 heures à la résidence alors que le livre principal a été présenté en primeur pendant le Salon du livre de l’Île-du-Prince-Édouard.
Les vétérans de la Seconde Guerre mondiale, qui a pris fin en 1945, se font de plus en plus rares. L’un des derniers vétérans natifs de la région Évangéline est Albert Arsenault, qui a servi sur l’Iroquois, un destroyer qui a escorté des convois et a assumé des rôles offensifs dans le golfe de Gascogne, dans la Manche et au large des côtes de France, de la Norvège et du Nord de la Russie.
Les coquelicots sont le symbole le plus distinctif identifié au souvenir du sacrifice fait par les soldats canadiens au cours des guerres dans lesquelles ils ont servi. La Légion de Wellington vient tout juste de démarrer un projet communautaire qui va se conclure en novembre prochain : la réalisation d’une cascade de coquelicots qui partira du toit de la Légion jusqu’au sol, en prévision du Jour du Souvenir.
Lire à voix haute à son enfant c’est bien, mais lire à voix haute avec son enfant, c’est encore mieux. Interagir, parler du livre, élaborer des scénarios possibles, autant de façons d’engager l’enfant dans l’histoire et le contenu du livre.
La plupart des participants au forum local Le Français pour l’avenir sont inscrits dans des écoles françaises ou des programmes d’immersion. «Ils sont chanceux. Moi, ayant grandi à Morell, où il n’y a pas de programme d’immersion, ce n’est qu’après mon secondaire que j’ai vraiment appris le français, avec le programme Explore. Je suis allée à l’Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse pendant six semaines. C’est comme ça que j’ai appris», dit Amber James, qui occupe aujourd’hui un poste bilingue à la Commission de la fonction publique de l’ÎPÉ.
Décédé en mars dernier, Pierre Arsenault a laissé en Acadie, et au-delà, une œuvre considérable. C’est lui qui, lorsqu’il était président de la Société Saint-Thomas-d’Aquin (maintenant connue comme la SAF’Île), a jeté les bases de ce qui allait devenir La Voix acadienne.
Chaque vendredi matin, les francophones et francophiles de la région de Charlottetown peuvent se retrouver pour une jasette au café Timothy’s. Le Carrefour de l’Isle-Saint-Jean et le Réseau en Immigration francophone de la province, à l’origine de l’initiative, veulent créer un espace de rencontre pour briser l’isolement et créer des liens au sein d’une communauté éparpillée.
L’exposition tirée du livre de Stella d’Entremont : ACADIENNES Voix de la génération silencieuse est en montre au Musée acadien de l’Île-du-Prince-Édouard pendant les prochains mois. Le vernissage a eu lieu le dimanche 5 mai, en présence de la photographe à l’origine du projet et de quatre des cinq femmes de l’Île-du-Prince-Édouard étant en vedette dans le livre.
Les préparatifs pour le 28e Souper-loterie Richelieu vont bon train. L’événement annuel, qui est très populaire auprès de son public, aura lieu le samedi 11 mai 2024 à 19 h au Village musical acadien à Abram-Village. Comme toujours, on retrouvera au menu un délicieux souper au homard.
Des travaux sont en cours sur le quai des pêcheurs d’Abram-Village, alors que toute la portion du quai située du côté est en train d’être remplacée. Les travaux avancent lentement. Les entrepreneurs ont d’abord dû construire une passerelle surélevée (et bien solide), le long de la structure existante, afin de la démolir puis de la reconstruire.
Soup’art est un événement qui allie la dégustation de soupes délicieuses aux arts visuels. Traditionnellement tenu le 20 mars pour célébrer la Journée internationale de la
francophonie, il a d’abord eu lieu au Centre des arts de la Confédération plusieurs années de suite. En 2023 et de nouveau en 2024, la soirée a eu lieu au Carrefour de l’Isle-
Saint-Jean à Charlottetown.
La jeune Shelaine Gallant d’Alberton, mais originaire de la région Évangéline, vient de recevoir le prix annuel «Kerri Wynne MacLeod – Femmes d’impact». Ce prix, en mémoire de cette dernière, reconnaît des personnes qui travaillent dans des endroits où elles ont des impacts directement sur nos communautés.
L’évêque du Diocèse de Charlottetown, Joseph Dabrowski, a célébré la messe dans la paroisse de Baie-Egmont dimanche dernier. Une belle messe co-célébrée par le Père Firmin Dildom et le Père Christopher Sherren, vicaire judiciaire au Diocèse.
Quoi de mieux que la tire d’érable pour vivre une expérience authentiquement canadienne? Pas grand-chose. De très nombreux étudiants internationaux au Collège de l’Île, certains justement inscrits dans le programme «Expérience canadienne», n’avaient jamais goûté au sirop d’érable ni, encore moins, mangé de la tire d’érable sur la neige.
Une belle foule a profité des activités d’ouverture communautaire des Rendez-Vous de la Francophonie au Pavillon de l’Est, à Rollo Bay, le 2 mars. L’accent a été mis sur l’éducation, en intégrant dans le programme des ateliers de violon, de guitare, de turlutte, de podorythmie, de bodhran et de cuisine, qui ont été offerts en après-midi.
Déclenchée en 2020, la pandémie de COVID-19 est aujourd’hui sous contrôle. À partir de 2022, les gens ont pu circuler à nouveau librement. La reconnexion avec les autres ne s’est pas faite automatiquement ni aussi naturellement qu’on aurait pu le penser. C’est en partie pour aider à cette reconnexion que trois organismes ont organisé la conférence Creating Collective Care, qui a eu lieu la semaine dernière à Summerside.
Le vendredi 27 janvier, le Carrefour de l’Isle-Saint-Jean a organisé à Charlottetown un 5 à 8 pour célébrer la Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante. Plusieurs francophones présents à la soirée saluent une initiative qui aide à changer les regards et sensibiliser la communauté à la diversité.
Des travaux d’agrandissement ont été amorcés à l’École Pierre-Chiasson à DeBlois. L’ensemble du projet est estimé à 720 000 $.
Le 27 janvier de chaque année est la Journée de l’alphabétisation familiale au Canada. C’est une occasion de rappeler à tous combien les livres peuvent jouer un rôle important au quotidien, pour s’amuser, apprendre et communiquer.