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Par Jacinthe Laforest
Entourant la plaque souvenir du jugement de la Cour suprême du Canada rendu le 13 janvier 2000, on voit au premier plan, Noëlla Arsenault (alors Arsenault-Cameron) et Madeleine Costa (alors Costa-Petitpas), qui étaient les codemanderesses avec la Fédération des parents de l’ÎPÉ.  Au second rang, Gabriel Arsenault, alors directeur général de la Commission scolaire de langue française et Julie Duchesne, présidente actuelle de la  Fédération des parents de l’Île-du-Prince-Édouard.  (Photo : J.L.)

Lors de sa réunion mensuelle régulière qui avait lieu le 14 janvier, le lendemain du 25e anniversaire de la décision Arsenault-Cameron de la Cour suprême du Canada en faveur des parents de Summerside pour une école française dans leur communauté, la Commission scolaire de langue française a tenu, à huis clos, une petite cérémonie.  

Étaient présentes, les deux demanderesses d’origine, Madeleine Costa (autrefois Costa-Petitpas) et Noëlla Arsenault (autrefois Arsenault-Cameron), ainsi que Julie Duchesne qui, en tant que présidente actuelle, représentait la Fédération des parents de l’ÎPÉ, qui était co-demanderesse avec les parents.  Gabriel Arsenault, autrefois directeur général de la Commission scolaire de langue française, était également présent. 

Lors de la partie publique de la réunion du 14 janvier, le président de la Commission scolaire, Gilles Benoit, a lu la déclaration pour que, a-t-il dit, les documents officiels de la CSLF conservent une trace de ce 25e anniversaire.  

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