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Invité à prendre la parole, le 10 mars, à Abram-Village, le ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de l’Action climatique, Gilles Arsenault, a affirmé sans aucune ambiguïté que l’Île-du-Prince-Édouard avait amplement d’électricité pour répondre à la demande, contrairement aux rumeurs qui ont pris naissance après une série de plusieurs pannes plus tôt cet hiver.
La disparition du portefeuille des Langues officielles au sein du cabinet de Mark Carney suscite déjà des critiques au sein de la francophonie canadienne. Certains députés libéraux francophones tentent toutefois de nuancer cette décision, alors que le pays fait face à une guerre commerciale avec les États-Unis.
Le Comité citoyen pour un nouveau nom (pour l’Université de Moncton) consulte la population au moyen d’un vote en ligne qui est en vigueur depuis le 14 février et qui se poursuit jusqu’au 22 mars. C’est une autre tentative de faire bouger les dirigeants de l’institution.
La guerre commerciale avec les États-Unis n’en finit pas de faire des montagnes russes. Deux jours après avoir imposé des droits de douane, le président Trump est revenu sur sa décision. La province préfère se préparer au pire et organise la riposte. Pêcheurs, agriculteurs, mais aussi entreprises de l’aérospatiale tentent de diversifier leurs exportations.
Le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard n’a pas tardé à réagir aux tarifs douaniers imposés par l’administration Trump, à partir de minuit une minute le matin du 4 mars. En conférence de presse dans l’après-midi du 4 mars, le gouvernement de l’ÎPÉ, maintenant dirigé par Rob Lantz, a annoncé une série de mesures pour soutenir l’économie de l’Île, mais avant tout, les citoyens qui pourraient ressentir les effets des représailles et des contre-tarifs.
Mark Carney a battu à plate couture les trois autres candidats à la direction du Parti libéral du Canada (PLC), avec 85,9 % des votes. Il a donc été élu ce 9 mars chef du parti. Mais quelle sera la suite?
Le lundi 3 mars, la cérémonie d’ouverture de la 27e édition des Rendez-vous de la Francophonie a eu lieu à la Maison du Gouvernement à Charlottetown. Les représentants de la communauté acadienne et francophone présents insistent sur le besoin de connaître son passé et de s’enraciner pour transmettre l’amour du français aux jeunes générations.
La ministre aux commandes des Langues officielles depuis décembre, Rachel Bendayan, continue de s’occuper des affaires courantes dans un contexte politique intérieur et extérieur explosif. Dans sa première entrevue avec Francopresse, elle revient sur l’avancement des règlements et la place des langues officielles dans l’actualité.
La Société acadienne et francophone de l’Île-du-Prince-Édouard (SAF’Île), en partenariat avec la Fédération culturelle de l’Île-du-Prince-Édouard, a inauguré aujourd’hui les Rendez-vous de la Francophonie 2025 lors d’une cérémonie protocolaire à Fanningbank, la Maison du gouvernement. Cet événement marque le début d’un mois de festivités célébrant la langue, la culture et l’histoire des francophones et Acadiens de l’Île et de tout le Canada.
Le jeudi 20 février, le Premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard a démissionné après six ans à la tête de la province. Dennis King considère qu’il n’est plus l’homme de la situation, alors que la guerre tarifaire avec les États-Unis menace l’économie du Canada. Deux politologues analysent les raisons de son départ précipité et les implications pour la vie politique insulaire.
FRANCOPRESSE – Le débat en anglais de la course à la direction du Parti libéral du Canada (PLC) a été plus énergique que celui en français. Les quatre candidats et candidates ont donné plus de détails sur leurs propositions et tiré plus de flèches. La question du français, elle, a été complètement absente.
Il a été très peu question des francophones hors Québec pendant le débat en français pour la course à la direction du Parti libéral. Plusieurs questions du modérateur, Pierre Jobin, étaient centrées sur le Québec. Les enjeux concernant les langues minoritaires et les Autochtones ont été mis de l’avant par les candidates et les candidats.
Les espèces du mammifère marin présentes dans le Golfe du Saint-Laurent souffrent du manque chronique de glace hivernale. Les phoques gris et communs ont réussi à s’adapter, mais la survie du phoque du Groenland et du phoque à capuchon est en jeu.
Quelque 20% du Golfe du Saint-Laurent sont englacés. La situation est relativement meilleure que les années précédentes, marquées par des absences de glace record. Plusieurs autres signes encourageants viennent des eaux profondes moins chaudes et plus oxygénées que dans le passé.
Les États-Unis ont suspendu les droits de douane contre le Canada pour un mois. Les acteurs économiques de l’Île-du-Prince-Édouard se disent soulagés, mais l’incertitude demeure. Les entreprises misent désormais sur l’essor du commerce interprovincial et de nouveaux marchés à l’international. Elles saluent également le regain d’intérêt pour l’achat local.
Alors que les tarifs douaniers désirés par Donald Trump ont été suspendus pour au moins 30 jours, le chef de l’opposition, Pierre Poilievre, veut rappeler le Parlement. Mais le Canada en a-t-il besoin pour s’armer dans cette guerre commerciale? Pas forcément, avance un politologue.
L’imposition des tarifs douaniers par les États-Unis a pour l’instant été repoussée d’au moins 30 jours après que Justin Trudeau et Donald Trump se sont parlé deux fois le lundi 3 février.
La menace du président américain, Donald Trump, d’instaurer des tarifs douaniers de 25% préoccupe fortement les acteurs économiques et politiques. L’économie insulaire est en effet grandement dépendante des exportations vers le voisin du Sud.
Le NM Northumberland (anciennement le NM Fanafjord) est arrivé en Nouvelle-Écosse le dimanche 26 janvier. Ce navire desservira la route entre Wood Islands, à l’Île-du-Prince-Édouard, et le port de Caribou, dans le comté de Pictou, en Nouvelle-Écosse.
Le Parlement jeunesse de l’Acadie a eu lieu du 3 au 5 janvier à Fredericton au Nouveau-Brunswick. Pendant la session, le parlement a dû faire face à une situation d’urgence, fictive évidemment : l’effondrement du pont de la Confédération et le refus du gouvernement de le reconstruire. Hayden Cotton a été expulsé de la chambre.
Avocat des demanderesses dans le cas Arsenault-Cameron qui a comparu devant la Cour suprême du Canada, Robert McConnell compare son rôle à celui d’un chauffeur de limousine qui a pu conduire sa passagère, la cause, à bon port, sans accident. «Et je ne dis pas cela par fausse modestie. Une fois que la Cour suprême a accepté de nous entendre, c’était gagné, selon moi», dit Robert McConnell. La Voix acadienne s’est entretenue avec l’avocat à la retraite le mercredi 8 janvier, dans sa maison de Wheatley River, près de Rustico.
Le 13 janvier 2000, la Cour suprême du Canada confirme que ce n’est pas aux ministères de l’Éducation provinciaux de décider où les conseils scolaires de la minorité linguistique peuvent offrir – ou non – leurs programmes. L’arrêt Arsenault-Cameron fait encore écho, 25 ans après son prononcé.
À l’heure du bilan, on retiendra que c’est sous Justin Trudeau que la modernisation de la Loi sur les langues officielles s’est réalisée. Plusieurs faux pas font cependant ombrage aux actions positives pour la francophonie mises de l’avant par son gouvernement.
Avant même que le Parti libéral confirme que le nom du ou de la chef.fe libéral.e sera connu le 9 mars, le député Chandra Arya s’est mis en mauvaise posture auprès des francophones en minimisant l’importance du français dans cette course.